La start-up ambitionne d’accompagner les levées de dons du secteur solidaire. Je vous propose plus de détails sur les solutions de la jeune pousse.
L’objectif premier d’obole
Fondée en 2015, Obole est une initiative de Stanislas Billet de Lochner et Romain Husson. Face à la raréfaction de l’usage de la monnaie fiduciaire, Obole œuvre initialement dans le concept d’outils digitaux de collecte.
Cela prend la forme d’applications et de bornes connectées pour un paiement par carte bancaire. Obole a évolué vers plus d’activités.
Toutefois, elle poursuit ses créations au niveau du segment digital.
Les conceptions récentes d’Obole
Un semestre de R & D et de proof-of-concept a permis le lancement d’un panier spécifique. En fait, ce panier autorise à la fois les dons en espèces et les dons sans contact par carte ou Smartphone.
Sur 30 paniers déployés, 20 000 euros de collecte sont enregistrés lors du premier week-end. Mis à part les paroisses, les associations et les collectes de rues sont aussi concernées.
Un état de lieux des installations
La dématérialisation des dons culturels cible les associations, les ONG et autres fondations. Obole propose à la location 400 bornes de collecte.
Les hôpitaux figurent parmi les clients sans oublier les musées et les châteaux. En parallèle, les associations installent les bornes à l’entrée au cours de divers évènements.
Une plateforme utile
Obole a également mis en place une plateforme consacrée à l’analyse et au pilotage. En fait, elle s’adresse aux outils comme les paniers, les bornes et les applications de collecte.
Une équipe de cinq développeurs a permis l’internalisation de développement des fronts et back offices des solutions sans oublier la plateforme de pilotage.
Une start-up en pleine croissance
A l’instar du marché du patrimoine, le culturel catholique est devenu un relais de croissance à l’expert.
La start-up dispose d’une clientèle en Suisse et en Belgique. Pour l’heure, le marché natif est privilégié car les demandes cultuelles d’autres pays proposent de réajuster le wording des solutions.
Les activités d’Obole
Obole ne prélève aucune commission sur les dons des activités d’accompagnement pour les associations, les ONG et les fondations. Les revenus sont issus des outils digitaux vendus par la start-up.
Elle fournit également des activités de conseils stratégiques et opérationnels à destination des sociétés de production d’évènements. Obole œuvre entre Paris et Nantes.
Six investisseurs financent le nouveau projet Obole Lab. Il s’agit d’une start-up studio pour l’accompagnement de projets dédiés au bien commun.
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Crédit Photo : creactifs.com